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https://francearchives.fr/

Le portail francearchives.fr, l’agrégateur national des archives françaises, a été mis en ligne en mars 2017. Ce portail est né du besoin d’offrir à tous un accès simplifié aux archives référencées dispersées sur tout le territoire, entre différents services nationaux et territoriaux, publics ou privés et de statuts juridiques variés.

FranceArchives présente des archives référencées conservées dans les services d'archives français, qu'ils soient de niveau national, territorial ou des établissements publics et privés. Voici une répartition de la provenance des archives actuellement référencées sur le portail. La carte signale les services d'archives départementales et municipales partenaires du portail.


anom

http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/

Service à compétence nationale installé à Aix-en-Provence depuis 1966, les Archives nationales d’outre-mer (ANOM) ont pour mission la conservation, la communication et la collecte des archives de l’expansion coloniale française.
Héritières de trois siècles d’histoire, elles conservent deux grands ensembles au passé administratif et archivistique différent : d’une part les archives des ministères qui furent chargés du XVIIe au XXe siècle de l’empire colonial français, d’autre part les archives transférées des anciennes colonies et de l’Algérie lors de leur indépendance.
Les ANOM conservent aujourd’hui 38 kilomètres d’archives et accueillent chaque année plus de 2000 lecteurs.

Les fonds sont complexes, car longtemps l’histoire des archives coloniales a été mouvementée. Si la présence française outre-mer date du XVIe siècle, une administration spécifique aux colonies ne voit le jour qu’en 1710 avec la création au ministère de la Marine du bureau des Colonies. C’est la conséquence de la lente spécialisation de bureaux chargés de régler les problèmes touchant l’administration et la vie des possessions outre-mer. Jusqu’en 1858, les Colonies sont rattachées à la Marine, mais les fonds sont séparés physiquement. En 1858 est créé l’éphémère ministère de l’Algérie et des Colonies. Les Colonies sont à nouveau rattachées à la Marine en 1860.
Toutefois, l’idée d’une administration distincte pour les colonies voit lentement le jour. En 1881 est créé un sous-secrétariat d’état aux Colonies rattaché au ministère du Commerce, qui, après diverses vicissitudes, sera érigé en ministère de plein exercice le 20 mars 1894. La loi du 31 juillet 1920 donne ensuite à l’administration centrale du ministère une organisation qu’elle conserve sans changement jusqu'à sa disparition en 1960.
Les archives ont suivi les aléas de l’administration coloniale. Au XVIIIe siècle et jusqu’au milieu du XIXe siècle, elles ont été ballottées de lieux en lieux, ont changé fréquemment de bureau de rattachement, ont été traitées de manière différente par chaque archiviste.
Il faut attendre 1920 pour que naisse enfin un véritable service d’archives à Paris.
Les archives territoriales, quant à elles, ont eu pendant longtemps une existence précaire. Selon les territoires, de véritables services d’archives n’ont vu le jour qu’au début du XXe siècle, voire même au milieu du XXe. Se sont ajoutés à cette précarité les mauvaises conditions climatiques et de conservation, le manque de personnel qualifié et enfin les rapatriements souvent hâtifs au moment des indépendances.

Les archives de l’expansion française ne se limitent pas aux documents de l’administration : les documents d'origine privée (personnes, familles, entreprises..) qui contribuent à en éclairer l'histoire en sont un élément essentiel.

Ainsi le dépôt d’Aix-en-Provence est une création artificielle due aux circonstances. Les fonds conservés sont d’origine et de nature très diverses, sans unité géographique ni même administrative : archives métropolitaines et locales, archives officielles de la présence et de l’expansion françaises, mais aussi archives d’administrateurs, de simples particuliers, archives économiques, photographies. Fonds différents, car l’administration en Inde n’est pas la même que celle de l’Algérie ou de l’Indochine, fonds incomplets puisque n’ont été rapatriées que les archives de souveraineté et non de gestion, voire fonds absents puisque certains d'entre eux sont restés sur place. Mais tous ces fonds sont le reflet des multiples aspects de la présence française outre-mer, de l’occupation simple à la conquête, l’exploration, la mise en valeur, les rapports entre Français et populations locales. Le territoire couvert va des Antilles aux Mascareignes, du continent américain à l’Afrique, de l’Asie à l’Océanie.


AD33


https://archives.gironde.fr/

L'intégralité des registres paroissiaux et d'état civil détenus par les archives départementales sont numérisés.Quelques répertoires et minutes de notaires le sont également.

Quelques liens intéressants:

Les registres paroissiaux et l'état civil de Bordeaux et de certaines communes de la Métropole de Bordeaux sont consultables sur le site des Archives de Bordeaux-Métropole.


BM

https://archives.bordeaux-metropole.fr/n/salle-de-lecture/n:40

Le 1er mars 2016, sont créées les Archives Bordeaux Métropole.

Elles regroupent les archives de Bordeaux Métropole, ainsi que celles des communes membres ayant choisi de mutualiser ce domaine d'activité:

Liens intéressants:

Bazas

https://archives-numeriques.ville-bazas.fr/registres-paroissiaux

Les registres paroissiaux et d'état civil des paroisses et communes:


Bibliothèque


https://bibliotheque.bordeaux.fr/

La bibliothèque Mériadeck est la plus grande bibliothèque du réseau bordelais. C'est également l'une des plus grandes bibliothèques municipales de France, avec ses 8 000 m² ouverts au public !

L'offre de documents est vaste : le bâtiment abrite plus d'un million de documents dans des dizaines de kilomètres de rayonnages, soit en accès tout à fait simple et facile, dans les salles, pour l'emprunt à domicile ou la lecture sur place, soit en magasins. Parmi ces documents, plus de 250 000 livres d'étude, 300 000 documents à emprunter, mais aussi les fonds rares, précieux et anciens de la Ville, soit 300 000 livres, estampes et manuscrits, dont le plus ancien remonte au 8ème siècle ! Ce fonds place la Bibliothèque de Bordeaux au premier rang, à côté d'autres prestigieuses bibliothèques.